Histoires de terrains

Débutant en aeromodelisme, j'ai acheté un traîner début juillet. J'ai passé
beaucoup de temps au club a me faire écoler. Ca ma pris un mois pour
être autonome, pouvoir décoller, voler et atterrir seul.

C'était l'été 2001. Nous étions les 2 seuls à être venu au terrain cet après-midi ensoleillé. Après quelques vols bien sages, je commence à un peu m'exiter avec ma pico-jet (renforcée fibre de verre) et j'entame des radadas féroces vent dans l'pet. Je lance même un "je vais t'exploser la g..." à mon copain qui, relevant le défit, s'élance sur la piste et commence à me narguer. Je me concentre (un peu trop) sur ma pico et ne réalise pas que je ne lui laisse quasi aucune chance de l'éviter !

Etant tout le temps confronté au problème de la mise en altitude des petits planeurs, je décidais d'installer un corchet de remorquage dans mon Falco (ce fut d'ailleur assez fastidieux tant le fuselage était déja rempli!). Chose faite, je pris rendez-vous avec mon ami Thomas sur notre aire de jeux favorite. Heureux de pouvoir effectuer une remorquage avec ce planeur que je n'avait jamais piloté qu'en pente, j'ai eu tendance à un peu trop m'emballer...

Moi aussi cela m'est arrivé...

Il y a plusieurs années, j'ai fait mes premiers vols avec un planeur Filius motorisé, pour sa mise sur orbite, par un vieux Cox 0.8 en pylône . Celui-ci tournait comme une horloge. Il fallait simplement s'y reprendre systématiquement à trois ou quatre fois avant qu'il veuille bien démarrer.

L’histoire qui suit s’est passée début mai 2002 en Brabant Wallon.

Jules vient de passer 3 mois dans son atelier pour la mise au point d’un majestueux planeur de 6 m d’envergure (et 12 kilos).Un » ready to fly » tout fibre d’un artisan allemand renommé. L’ensemble radio (14 servos, récepteur double fréquence, accus et accus de secour, altimètre) est monté avec un soin tout particulier. C’est qu’on ne rigole pas avec un joujou à plus de 1500 euros !!

Ce jour là, nous venions d'étrenner notre treuil électrique. Les planeurs du club étaient de sortie et les treuillages se succédaient à bonne cadence.
Mes deux fils n'étaient pas en reste et avaient même engagé un petit concours familial. Arrive le tour de Pascal, l'aîné. Il accroche l'anneau du treuil au planeur, l'émetteur d'une main, le pied sur la pédale et c'est parti.

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