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Ayant épuisé mon stock de plastique spécial qui va bien, je me suis enfin décidé à mouler une verrière dans une bouteille de Caco-Calo. Jusque là rien d'original, des milliers de fous l'ont fait avant moi... Donc, comme je n'ai pas de bloc de balsa, je colle des planches de 10mm à la cyano (beaucoup de cyano, faut que ça tienne!), puis je sculpte au couteau, à la rape et au papier de verre. Super facile, ça m'a pris 1/2hr. Le cockpit en bois massif atterrit au fond d'une bouteille de flotte bleutée du plus bel effet et le four (à air pulsé) est programmé sur 150°.

Résumé  : Si pour démarrer seul votre moteur thermique vous posez votre modèle sur ses roues, inéluctablement votre train d'atterrissage souffrira des pressions répétées sur le fuselage pour maintenir votre avion. Comme cet effort sur le haut du fuselage est proportionnel à la compression de votre moteur, plus il est gros et plus vous apprécierez le confort d'un support de démarrage. J'ai réalisé les miens dans un matériau léger, peu coûteux, et qui se travaille facilement : le « Styrodur », mousse dense très légère.
Matériaux nécessaires  :

Cela fa it longtemps que, par les fin de journées calmes, (et celle ou il y a du vent aussi), nous nous amusons, avec quelques petits camarades aussi tapés que moi, à faire du vol en formation, la plus serrée possible. Et si par hasard, dans le passage bas et groupé au ras de la piste, un de nos « bac à voler » est sur le dos, cela n’étonne plus grand monde. C’est évidemment à celui qui s’enfilera toute la piste sur le dos, le plus bas et le plus lentement possible et bien des avions ont fini leur vie dans le dernier demi tonneau en bout de piste.

Pratiquant le modélisme depuis 2 ans et étant automaticien de formation
(donc interressé par tout ce qui est automatique), j'ai découvert
l'année
passée qu'il exitait une machine qui permettant de découper la frigolyte,
le
depron et le styro avec un fil a chaud et cela piloté par ordinateur et
moteurs pas à pas.
Ni une, ni deux.......avec l'aide de mon pote de club (mécanicien de
précision) nous nous sommes lancé dans l'aventure de la découpe
CNC.

Samedi dernier, notre ami Claudy mettait en route son trainer, comme il le fait tous les week-end. Sauf que cette fois, l'engin démarre mais est difficile à règler: ça doit être le froid... Bon, le 10cc n'a pas la pêche, mais ça devrait aller. Décollage, quelques tours pénibles et Brrrrrrrtttt... plus rien. Atterrissage vent arrière dans un champ labouré, l'avion est intact mais plein de boue. Claudy peste pendant une heure: bougie, pointeau, durit, contre-pointeau... tout a pourtant l'air correct.

Ce dimanche 28 décembre 2003 est à marquer d’une pierre blanche. Un nouveau record du monde a été établit en aéromodélisme. Le plus petit triplan du monde : 7,4 cm d’envergure a volé (et bien, en plus).

Nous étions conviés par Thierry Beijns dans le hall omnisport de Hannut. Une trentaine de personnes avait fait le déplacement dont le rédacteur en chef de RCM-Looping en personne himself.

" Pigs ". Rares sont ceux qui n'ont pas entendu parler de ce magasin
de modélisme situé à Gilly. Il faut dire qu'il fait du
bruit le cochon. Il prétend être le moins cher. C'est le VandenBorre
du modélisme; si vous trouvez moins cher ailleurs, il s'aligne (-1 euro
!).

Je viens de faire l'acquisition du dernier simulateur de chez Ikarus: Easysim. Pour l'avoir testé sous windows XP home edition, cela fonctionne sans problème. Ce logiciel n'est pas cher, mais à y regarder de plus près, il ne vaut guère plus... Pourquoi ? Tout d'abord, il ne propose que deux modèles: un Piccolo et un Piper Cub trois axes. Ensuite, ce simulateur est vendu sans jolie boîte, sans mode d'emploi "papier" et sans câble ! Le CD est livré tout nu dans une pochette anonyme en papier. Difficile de faire plus économique...
Qu'importe le flacon, me direz-vous, bien sûr...

Après une petite demi heure de vol sur la pente SE du vdp3f, les mains un peu enguourdies par le froid, je me décide de tenter une approche pour poser mon DG1000. Passage par la droite, glissade, retour par la gauche, zut trop vite, trop haut, on recommence...et toujours trop vite, c'est qu'il file ce DG1000, bon, je m'y prends autrement, long virage a gauche face a l'horizon, legere prise de vitesse pour revenir vent dans le dos vers la pente, j'entame mon virage pour revenir en final vers la pente , passage devant les arbres.....et , zut, ou est passé mon planeur ?

Pour la petite histoire, je suis pilote de planeur depuis 2 ans et vole essentiellement en pleine sur la côte belge. Habitant la côte, je revais de pouvoir jouer avec les dunes en profitant du dynamique et me suis intéressé au vol de pente.

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